Conseils et gestes à faire lorsque vous êtes en présence d'une personne qui vient de faire un arrêt cardiaque.
Pour information, quelque 10.000 personnes feraient tous les ans en Belgique un arrêt cardiaque, et ce en dehors de l'hôpital. Les arrêts cardiaques se produisent le plus fréquemment en rue, sur le chemin du travail, au volant, lors de la pratique d'un sport, etc. Cela ferait environ 30 victimes par jour, soit une victime toutes les 50 minutes !
C'est la rapidité d'intervention qui déterminera la survie du malade.
5 à 10% des personnes qui ont fait un arrêt cardiaque y survivront.
Dès que vous voyez une personne qui fait un arrêt cardiaque, il faut immédiatement lui faire un massage cardiaque et/ou du bouche à bouche. Le mieux étant - si cet appareil est disponible à proximité - d'utiliser un défibrillateur électrique. Des gestes de réanimation pratiqués dans les secondes qui suivent un arrêt cardiaque permettent d'augmenter les chances de survie jusqu'à 70% !
N'oubliez pas de prévenir les secours mais sachez qu'en fonction de l'endroit où vous vous trouvez, les ambulances mettront entre six et douze minutes pour arriver. C'est rapide, mais dans ce cas-ci, bien trop long car des lésions cérébrales irréversibles peuvent déjà apparaître après quatre minutes sans oxygène. C'est dire l'importance de pouvoir réanimer rapidement une tierce personne!
Pour l'instant en Belgique une formation à la réanimation ou à l'utilisation d'un défibrillateur n'est pas obligatoire. Vous pouvez, néanmoins, vous renseigner auprès de la Croix-Rouge ou encore de la caserne de pompiers de votre localité. Les pompiers donnent régulièrement des formations dans les écoles, et ce à la demande des enseignants mais ce n'est pas systématique.
Bref, massage cardiaque, bouche à bouche, appel aux urgences et agir rapidement... tels sont les mots d'ordre pour augmenter les chances de survie en cas d'arrêt cardaque !
Pour information, quelque 10.000 personnes feraient tous les ans en Belgique un arrêt cardiaque, et ce en dehors de l'hôpital. Les arrêts cardiaques se produisent le plus fréquemment en rue, sur le chemin du travail, au volant, lors de la pratique d'un sport, etc. Cela ferait environ 30 victimes par jour, soit une victime toutes les 50 minutes !
C'est la rapidité d'intervention qui déterminera la survie du malade.
5 à 10% des personnes qui ont fait un arrêt cardiaque y survivront.
Dès que vous voyez une personne qui fait un arrêt cardiaque, il faut immédiatement lui faire un massage cardiaque et/ou du bouche à bouche. Le mieux étant - si cet appareil est disponible à proximité - d'utiliser un défibrillateur électrique. Des gestes de réanimation pratiqués dans les secondes qui suivent un arrêt cardiaque permettent d'augmenter les chances de survie jusqu'à 70% !
N'oubliez pas de prévenir les secours mais sachez qu'en fonction de l'endroit où vous vous trouvez, les ambulances mettront entre six et douze minutes pour arriver. C'est rapide, mais dans ce cas-ci, bien trop long car des lésions cérébrales irréversibles peuvent déjà apparaître après quatre minutes sans oxygène. C'est dire l'importance de pouvoir réanimer rapidement une tierce personne!
Pour l'instant en Belgique une formation à la réanimation ou à l'utilisation d'un défibrillateur n'est pas obligatoire. Vous pouvez, néanmoins, vous renseigner auprès de la Croix-Rouge ou encore de la caserne de pompiers de votre localité. Les pompiers donnent régulièrement des formations dans les écoles, et ce à la demande des enseignants mais ce n'est pas systématique.
Bref, massage cardiaque, bouche à bouche, appel aux urgences et agir rapidement... tels sont les mots d'ordre pour augmenter les chances de survie en cas d'arrêt cardaque !
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