5.12.13

Comment éviter une crise cardiaque?

La maladie cardiaque est la principale cause de décès chez les hommes et les femmes aux États-Unis. Les maladies cardiaques se produisent lorsque les vaisseaux sanguins du cœur (également appelées artères coronaires) se rétrécit en raison de dépôts de graisse également appelées plaques. Les plaques attirent également des composants sanguins, qui collent à la paroi paroi de l'artère (appelé athérosclérose). Ce processus se développe progressivement, sur plusieurs années. Elle commence souvent tôt dans la vie, même dans l'enfance.
L'accumulation gras ou la plaque peut casser ouvert et conduire à la formation d'un caillot de sang qui scelle la rupture. Le caillot réduit le flux sanguin. Lorsque trop peu de sang arrive au cœur, la condition est appelée ischémie, qui est un processus réversible. Au cours de l'ischémie, une douleur thoracique, ou angine de poitrine, peut se produire. La douleur peut varier en fréquence et être légère et intermittente, ou plus prononcée et constante. Il peut être assez grave pour faire des activités quotidiennes normales difficile. L'approvisionnement en sang même inadéquate peut aussi causer aucun symptôme, une condition appelée ischémie silencieuse.
Si un caillot de sang coupe soudainement plupart ou la totalité d'approvisionnement en sang au cœur, il en résulte une crise cardiaque qui, si elles traitent pas immédiatement peut entraîner la mort du muscle cardiaque qui ne reçoit pas le sang qui transporte l'oxygène. Le plus le temps passe sans traitement visant à rétablir le flux sanguin, plus les dommages au cœur.
Chaque année, environ 1,1 millions d'Américains souffrent d'une crise cardiaque. À propos de 460000 de ces crises cardiaques sont fatals.
Heureusement, nous pouvons prévenir un grand nombre de ces crises cardiaques se produisent. Mais cela nécessite une certaine approche proactive pour améliorer la santé et le bien-être. Nous devons d'abord comprendre tous ces facteurs de risque. Certains des facteurs de risque de crise cardiaque sont au-delà de votre contrôle, mais la plupart peuvent être modifiés pour vous aider à réduire votre risque d'avoir une attaque de première ou de répétition à cœur.
Facteurs que vous ne pouvez pas contrôler

  • Pré-existantes maladies coronariennes, y compris une crise cardiaque antérieure, un avant angioplastie ou un pontage, ou angine de poitrine
  • L'âge Chez les hommes, le risque augmente après 45 ans; chez les femmes, le risque augmente après l'âge de 55 ans.
  • Antécédents familiaux de maladie cardiaque précoce d'un père ou un frère diagnostiqué avant l'âge de 55 ans; ou une mère ou une sœur diagnostiqué avant l'âge de 65 ans.

Facteurs que vous pouvez contrôler

  • Fumer.
  • Une pression artérielle élevée.
  • Taux élevé de cholestérol.
  • Le surpoids et l'obésité.
  • L'inactivité physique.
  • Diabète.

Que dois-je faire pour prévenir la crise cardiaque? (Liste)

  • Faites-vous votre travail de sang effectuée périodiquement, car c'est la seule façon de savoir si vous souffrez d'hypercholestérolémie ou de sucres élevés.
  • Obtenez votre pression artérielle vérifier périodiquement parce que les gens ne sont généralement pas toute la douleur lorsque vous souffrez d'hypertension artérielle. Si vous n'obtenez pas le vérifier, vous pouvez ne jamais savoir que vous souffrez d'hypertension artérielle.
  • Si vous ne connaissez pas déjà, puis de savoir si vos parents avaient des antécédents de maladie cardiaque ou une crise cardiaque à un âge jeune.
  • Arrêter de fumer si vous n'avez pas déjà fait.
  • Limitez votre consommation de sel, les aliments gras, sucreries concentrées et boissons sucrées
  • Mangez tous les jours le petit déjeuner qui devrait se compose de fibres solubles, le son, multi-céréales et de protéines. Évitez les aliments riches en énergie
  • Soyez physiquement actif pendant au moins 45 minutes par jour
  • Si vous souffrez de diabète, d'hypertension artérielle et le cholestérol élevé et vous prenez des médicaments, s'il vous plaît assurez-vous de les prendre régulièrement. En contrôlant vous sucres, le cholestérol et la pression artérielle, même avec les médicaments peuvent vous aider à vous éviter des risques de crise cardiaque

Références:
  • Institut national de santé
  • American Heart Association

Source : http://www.neosante.org/comment-cardiaque-a02442830.htm

Prévoir l’infarctus quelques secondes avant qu’il ne survienne

Une révolution dans la prise en charge des victimes d’une crise cardiaque: c’est ce qu’annonce une spectaculaire étude américaine. Des résultats qui enthousiasment le chef de service de cardiologie des Hôpitaux universitaires de Genève. Des résultats qui coïncident en outre avec une autre découverte de taille permettant de sauver (quasi-gratuitement) des victimes de crise cardiaque.

«C’est un travail remarquable, une première percée dont on peut penser qu’elle fera date» résume le Pr François Mach. Le chef du service de cardiologie des HUG parle en ces termes de la recherche menée par le Dr Eric J. Topol, directeur du Scripps Translational Science Institute (STSI)  de San Diego. Selon lui ce travail pourrait, à court terme, bouleverser la prise en charge en urgence des personnes victimes d’un infarctus du myocarde. Elle laisse en effet entrevoir la possibilité d’agir non plus en aval de l’accident mais bien au moment où il se produit, voire même dans les secondes qui précèdent.
Tout se passe ici au niveau d’une anomalie: la plaque d’athérome située à la face interne des artères coronaires qui nourrissent le muscle cardiaque; une plaque qui n’est généralement pas unique et qui trouve son origine dans différents facteurs bien connus le plus souvent liés – on le sait – au non respect d’une bonne hygiène de vie.  On sait aussi que le développement progressif de cette plaque a pour effet de réduire au fil du temps le diamètre de la lumière artérielle. Corollaire : le risque d’occlusion augmente et, avec lui, celui de la survenue d’un infarctus du myocarde. L’arrêt accidentel de la circulation sanguine entraîne une destruction brutale, par privation d’oxygène (ischémie), d’une fraction plus ou moins importante du muscle.
Quand il n’est pas mortel l’accident peut avoir des conséquences importantes en termes de performances physiques et de qualité de vie. Dans tous les cas il impose une prise en charge médicale spécialisée en urgence ainsi qu’une période de réadaptation. Il peut aussi être suivi d’une intervention chirurgicale  – pontage(s) aorto-coronarien(s ) –  visant à retrouver une fonction cardiaque aussi proche que possible de la normale.
«Nous ne disposons que de trois méthodes pour savoir que nous sommes face à une personne victime d’un infarctus du myocarde, résume le Pr François Mach. Il y a la douleur, le tracé de l’électrocardiogramme et un dosage sanguin, celui d’une enzyme dénommée troponine.  Mais nous savons bien que la douleur peut prendre bien des visages différents et parfois même être absente. De la même manière le recours à l’électrocardiographe n’est pas toujours signifiant. Quand au dosage sanguin il est certes très utile mais ne de vient parlant  que dans les deux à quatre heures qui suivent la douleur. C’est dire toute l’importance que nous pouvons accorder à des outils qui pourraient nous renseigner de l’existence d’une rupture de plaque d’athérome au moment même où elle se produit.»
Et c’est bien ce tour de force qui semble avoir été accompli à San Diego par l’équipe du Dr Topol, un spécialiste renommé au sein de la communauté médicale spécialisée. Son travail a été jugé a priori suffisamment séduisant pour être soutenu financièrement à hauteur de 2 millions de dollars par les National Institutes of Health (NIH) américains. Il a aujourd’hui permis d’aboutir à un test sanguin prédictif prometteur de l’attaque cardiaque imminente. Les premiers résultats viennent d’être publiés sur le site de Science Translational Medicine. Les spécialistes les trouverons détaillés in extenso ici même.
Comme dans le cas du dosage de la troponine il s’agit d’aller scruter dans le sang les reflets de l’orage qui survient au sein de la pompe cardiaque. Mais il ne s’agit pas cette fois d’aller doser dans le sang le taux d’une molécule dont l’élévation traduit fidèlement (mais tardivement) une souffrance du muscle myocardique. Il s’agit d’aller observer la présence ou non de certaines cellules bien particulières. Il s’agit de cellules d’origine dite «endothéliale» circulant dans le sang, anormalement grandes et difformes, possédant en leur sein un nombre élevé de noyaux multiples.
Les médecins américains ont testé leur hypothèse expérimentale sur  cinquante personnes admises aux urgences pour un infarctus du myocarde avéré, dans quatre établissements hospitaliers de soins aigus de San Diego. Les résultats ont été comparés à ceux obtenus chez quarante-quatre personnes en bonne santé. En utilisant différentes plates-formes d'isolement et d’analyse des cellules (dont un outil nommé CellSearch), les chercheurs ont pu constater que le nombre de cellules endothéliales circulantes et leurs caractéristiques étaient considérablement modifiés chez les personnes malades et pas chez les autres.
Des travaux complémentaires vont très prochainement être menés sur une plus large échelle pour confirmer cette perspective prometteuse. «On peut raisonnablement penser qu’un tel test pleinement validé pourra être disponible dans les deux ou trois prochaines années, estime le Pr Mach. L’accès à un tel résultat permettra une amélioration diagnostique substantielle de la prise en charge dans l’urgence. Ceci nous éclairera sur les choix thérapeutiques que nous devons effectuer. Mais au-delà comment ne pas espérer que cette approche nous amène  très vite au plus proche de cet accident initial et inaugural qu’est la rupture de la plaque d’athérome? Et avec la diffusion de la technique et la réduction des coûts qui suivra, il n’est pas déraisonnable de penser que demain ce test pourra être mis en routine. Il le serait dès qu’une équipe médicale sera devant un malade laissant penser non pas qu’il a fait mais qu’il est en train de faire (voire qu’il va faire) un infarctus  ou plus largement un accident cardiovasculaire.  
Et une bonne nouvelle ne venant jamais seule (en cardiologie comme ailleurs) la publication de ces résultats coïncide avec une autre, faite à Chicago lors de la 61ème conférence annuelle de l’American College of Cardiology.  Elle a également été diffusée sur le site du Journal of the American Medical Association (Jama). Sa conclusion : on peut réduire le nombre d'arrêts cardiaques et de décès de patients avant leur arrivée à l'hôpital grâce à une injection intra-veineuse d'une association de glucose, insuline et potassium (GIP). « Effectuer une telle injection immédiatement au domicile ou dans l'ambulance en route vers l'hôpital, et ce avant même que le diagnostic soit complètement établi, aide à réduire l'ampleur des attaques cardiaques et diminue de moitié le risque d'un arrêt cardiaque mortel » a expliqué le Dr Harry Selker, directeur de l'Institut de recherche clinique au Centre médical Tufts à Boston (Massachusetts). Le Dr Selker a dirigé une étude contre placebo qui est parvenu à démontrer ce fait d’autant plus spectaculaire qu’il conduit à préconiser un geste gratuit, ou presque.  L’étude était baptisée « Immediate ». Il sera intéressant d’observer combien de temps il faudra (semaines, mois, années ?) pour que sa conclusion devienne une procédure de routine. Voire combien de temps avant que l’on accuse les services médicaux d’urgence de ne pas avoir appliqué cette procédure. Dans l’attente Planetesante.ch en donne l’essentiel.

4.12.13

L'huile de poisson - un signe d'espoir pour les maladies cardiovasculaires

Ces jours-ci, l'huile de poisson est un signe d'espoir pour les personnes souffrant de maladies cardio-vasculaires. Il existe une corrélation sans précédent entre l'huile de poisson et les maladies cardiovasculaires. Sauf si vous avez déjà entendu parler, vous êtes probablement sceptique sur la possibilité de ses avantages pour les maladies cardio-vasculaires, mais croyez-le ou pas, il ya eu des preuves récentes de suggérer que il ya assez peu d'avantages.
Des milliers de personnes souffrant de maladies cardio-vasculaires, ces dernières années ont été aidés par le potentiel de guérison quasi-miraculeuse de l'huile de poisson. Heureusement, cette révélation a été transmise et est actuellement utilisé pour les nouveaux patients qui sont maintenant en cours de traitement. À partir du cholestérol à la plaque, les acides gras oméga-3 acides gras essentiels sont un excellent moyen pour améliorer votre santé cardio-vasculaire.
Une des meilleures choses que l'huile de poisson ne sont soulager les symptômes. Les maladies cardiovasculaires peuvent être aggravées par une inflammation et une façon commune de lutte contre l'inflammation. Les maladies cardiovasculaires sont l'une des nombreuses maladies que vous pouvez obtenir auprès de l'inflammation chronique. D'autres incluent les allergies, le diabète, le cancer, la maladie d'Alzheimer, l'arthrite, la maladie de Parkinson, etc Si vous voulez réduire votre risque de contracter ces maladies.
Alors, pourquoi l'huile de poisson un signe d'espoir pour les maladies cardiovasculaires? Il ya quelques choses d'autres que l'huile de poisson ne qui le rend si contribué à aider les patients à des maladies cardio-vasculaires. Pour une chose, il a été montré pour abaisser le cholestérol LDL, et augmenter le cholestérol HDL. Il a également été montré pour réduire les triglycérides et la pression artérielle, ainsi. Lorsque vous avez moins de gras boucher vos artères, votre risque de crise cardiaque diminue en conséquence.
Mais ce n'est pas tout. Parce qu'il a les attributs d'un diluant du sang, elle réduit la probabilité d'un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque, et il se casse également les caillots qui pourraient causer un accident vasculaire cérébral ou cardiaque. Les scientifiques ont également signalé que l'huile de poisson peut aider à briser la plaque dans les artères, ce qui signifie que vous aurez une meilleure chance d'éviter des troubles cardiaques et se sentent en meilleure santé.
Croyez-le ou pas, les scientifiques ont rapporté que la consommation quotidienne de celui-ci peut réduire votre risque de mort subite par crise cardiaque de moitié. Il peut également réduire le risque de décès par arrêt cardiaque soudain, qui est causée par un rythme cardiaque irrégulier. Il existe de nombreux autres effets positifs ne sont pas liés à votre cœur et votre système cardio-vasculaire, aussi, comme si ceux ne sont pas assez.
Est-il donc trop fort pour déclarer que l'huile de poisson est un signe d'espoir pour les victimes de maladies cardio-vasculaires? Bien qu'il soit certainement pas un substitut pour un environnement sain, riche en éléments nutritifs régime, fréquente l'exercice modéré, et d'autres suppléments, il a certainement améliorer vos chances de survivre à une crise cardiaque et réduit même le risque de vous, même en avoir un dans la première place. Cette révélation, couplé avec les avantages anti-inflammatoires, l'amélioration de la fonction cérébrale, et des améliorations dans presque tous les autres systèmes majeur dans votre corps, il est une évidence.

Source : http://www.neosante.org/maladies-cardiovasculaires-a02853373.htm

Traitement des maladies cardiovasculaires. De l’espoir pour les patients 2013

Une technique innovante, récemment appliquée au Liban, permet de traiter les rétrécissements des artères du cœur et constitue un progrès majeur dans le domaine de la cardiologie interventionnelle. L’implantation de stents résorbables comporte de nombreux avantages pour les patients atteints d’une  maladie coronarienne. Détails.

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité au Liban et dans les pays en développement. La maladie coronarienne est la forme la plus courante de ces maladies et ses crises sont l’une des principales causes de décès tant chez l’homme que chez la femme. La maladie des artères coronaires cause le rétrécissement des artères du cœur. Le muscle cardiaque ne recevant plus suffisamment d’oxygène provoque une douleur thoracique. Selon les cardiologues, un grand nombre de décès pourraient être prévenus si l’on agit sur les facteurs de risque de cette maladie tels que l’hypertension artérielle, le diabète, le tabagisme, l’obésité, l’inactivité physique ou un taux élevé de cholestérol. Pour traiter le rétrécissement des artères, un stent coronaire peut être implanté au niveau de l’obstruction afin de maintenir l’artère ouverte et de réduire le risque répété au même endroit. Ce dispositif est un implant conçu pour demeurer dans l’artère en permanence. Une nouvelle technique disponible au Liban permet une meilleure qualité de vie au patient atteint d’une maladie cardiaque. Des stents entièrement résorbables remplacent désormais les stents classiques en métal. Contrairement au stent métallique, ce nouveau dispositif vasculaire est conçu pour être métabolisé lentement à partir de six mois environ jusqu’à dissolution complète après deux ans et demi.


Une technique avantageuse
L’implantation d’un stent résorbable a l’avantage de laisser le patient traité sans corps étranger dans l’artère, réduisant du même coup le risque de le voir développer une thrombose ou une allergie tardive. En l’absence de stent permanent métallique, l’artère peut revenir à un état plus naturel. Ces stents sont également avantageux car ils évitent les complications à long terme. Et on peut en poser autant que nécessaire. La paroi artérielle retrouve en quelques mois toute sa souplesse, car elle n’est plus imbriquée dans la cage métallique du stent. Il s’agit d’un espoir pour les patients qui souffrent d’un rétrécissement d’une artère coronaire. Ce stent permet à l’artère de recouvrer progressivement sa liberté de mouvement et disparaît complètement au bout de 18 mois sans laisser de trace dans l’organisme. Autre avantage de ce nouveau dispositif: éviter une resténose des artères, c’est-à-dire leur rétrécissement, une des complications les plus redoutées par les chirurgiens. L’artère guérit mieux et le patient ne garde pas de dispositif implantable toute sa vie.
NADA JUREIDINI
 
Des résultats prometteurs
Les résultats obtenus sur les vingt patients ayant subi l’implantation de stent biorésorbable dans les hôpitaux libanais sont prometteurs et constituent un espoir dans le traitement des rétrécissements des artères. C’est du moins l’avis des Drs Mohammad Kalakesh et Ali el-Sayed qui ont souligné que la maladie coronarienne est la première cause de décès au Liban et le restera dans les pays en développement d’ici 2020. La quatrième révolution en cardiologie interventionnelle, connue sous le nom Absorb pour le traitement de la maladie coronarienne, réalisée pour la première fois au Liban et produite par Abbott, constitue selon les médecins une découverte révolutionnaire qui va améliorer la qualité de vie des patients cardiaques.